Vos données de santé sont-elles en danger pendant la pandémie ?

Si on parle d’un risque lié aux installations physiques, et de risques accrus d’intrusion,l’impact est faible. Dans l’urgence les ressources disponibles sont attribuées à la crise; ce sont les personnes qui donnent les soins principalement. En temps normal on doit faire fonctionner l’hôpital, traiter les patients selon des protocoles et des routines bien connues. Cependant, nous ne sommes pas en temps normal : on doit maintenir la capacité de l’hôpital et y ajouter une gestion critique de la pandémie, et ce dans l’inconnu, devant un événement unique et historique. Le personnel est placé dans une situation encore plus tendue avec un stress, une peur, une intensité permanente.

Nous sommes ramenés à l’essentiel de la mission de soins et à celles et ceux qui les prodiguent. Pour elles et eux, nous devons répondre aux besoins de leur travail.

Que nous révèle la pandémie sur les données de santé ?

On a un besoin impérieux et nouveau de données sur la propagation du virus, le nombre de tests, les gens qui sont testés, la répartition des cas, et leur suivi, le matériel nécessaire, la gestion de l’approvisionnement, la formation. «Comme un chef d’orchestre, Imagem doit automatiser des processus complexes en développement.» dit Jacques Gagnon, président
directeur d’Imagem, une firme de haute technologie spécialisée dans la gestion de données des systèmes médicaux.

On a aussi et surtout besoin d’agilité et de réactivité pour développer et obtenir les informations cruciales, besoin d’une voie rapide, de flexibilité, toutes qualités que nous devons démontrer. Les gestionnaires de la crise ont besoin d’informations justes, exactes et disponibles.

«Comme un chef d’orchestre, Imagem doit automatiser Des processus complexes en développement.»

Les crises se produisent et se produiront encore. Il faut en tenir compte en mettant l’agilité dans les prérequis.

Une autre leçon à retenir, et non la moindre : notre capacité à s’occuper de nos affaires et cesser de compter sur les autres, qui d’ailleurs sont affairés à s’occuper des leurs. Pour nous l’achat local n’est pas un repli mais l’autonomie nécessaire, avoir nos solutions.

La proposition d’Imagem est la plus gratifiante qui soit : prendre le contrôle de notre destin technologique ici, chez nous.

La rigueur en tout temps

La rigueur occupe toujours la première place chez Imagem. «Dans le contexte actuel, il est primordial que les informations justes et sans failles soient remises aux médecins traitants.» nous dit Jacques Gagnon. Cette rigueur revêt une importance particulière en ces temps difficiles. L’entreprise ne ménage rien pour assurer la production de dossiers rigoureux et de les acheminer à ceux qui en ont besoin. En plus d’adopter les pratiques internes, elle a investi temps et argent pour se soumettre aux regards externes. Ses accréditations MDSAP (Medical Device Single Audit Program) et ISO 13485 en font foi. À chaque année, Imagem se soumet à des audits externes et internes. Ces normes placent l’entreprise dans les grandes ligues internationales.

«Dans le contexte actuel, il est primordial que les informations justes et sans failles soient remises aux médecins traitants.»