Vos soins, une tour de Babel ?

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Quand on entre à l’hôpital, on entre dans un corridor de soins, un continuum, un parcours à travers un plan de soins. C’est le jargon qu’utilisent les soignants. Si vous arrivez en ambulance, victime d’un accident et polytraumatisé, le plan doit être déjà prêt. C’est une question de minutes et chacune d’elles compte pour vous sauver la vie, illustre Jacques Gagnon, ing., président d’Imagem, entreprise spécialisée dans le développement de technologies dédiées au domaine de la santé.

Dans le feu de l’action, de nombreux spécialistes sont appelés à intervenir dans un certain ordre. Pour vous remettre sur pieds, des radiologistes, des orthopédistes, des chirurgiens œuvrant dans différentes spécialités, des anesthésistes, des psychiatres se rendent à tour à tour à votre chevet. La période de rétablissement qui s’ensuivra mobilisera éventuellement d’autres professionnels de la santé susceptibles de vous apporter des soins plusieurs fois au cours d’une même journée.

Cette imposante logistique est mobilisée en toute urgence dans le cas de l’accident qui vous accable, mais aussi pour tous les autres cas qui requièrent des interventions.

Sollicités aux quatre coins de l’hôpital, les professionnels de la santé travaillent de concert, mais ne sont pas pour autant ensemble en tout temps. Alors comment arrivent-ils à synchroniser et à harmoniser leur travail ? Comment parviennent-ils à savoir ce qu’un autre médecin a fait sur vous ? Comment se comprennent-ils?

« Puisqu’ils sont très affairés, ils utilisent un canal de communication qui est le rapport médical. Grâce à lui, non ce n’est plus la tour de Babel, c’est un langage commun, compris par tous. Ce rapport constitue ni plus ni moins que la colonne vertébrale de vos soins. Comme la colonne vertébrale qui distribue et reçoit tous les signaux de votre corps, le rapport c’est l’influx nerveux de votre plan de soins. Comme dans les nerfs, les informations que renferme le rapport médical doivent être justes et disponibles à temps.»

explique M. Gagnon.

L’enjeu est de taille, votre vie en dépend. Le chirurgien doit avoir le dernier rapport du radiologiste, car si vous êtes polytraumatisé, il y aura plusieurs rapports à lire ou à écouter et votre condition évolue rapidement. Conscients de la responsabilité qui leur incombe, les médecins accordent beaucoup de rigueur à cette étape dont l’importance est capitale.

À l’instar des professionnels de la santé, ceux qui préparent et rendent les rapports médicaux disponibles portent eux aussi une grande responsabilité. Avec rigueur et un sens aigu du devoir, Imagem contribue à fournir des rapports d’une grande précision. Le parcours de ceux-ci n’est pas sans obstacle. Qu’ils soient technologiques en raison des réseaux informatiques ou d’ordinateurs défaillants, les défis sont nombreux.

En étudiant soigneusement les processus de travail, Imagem arrive à rendre ses logiciels encore plus robustes et à parer les erreurs humaines en modifiant les habitudes des intervenants, le cas échéant.

En résumé, Imagem est responsable du bon fonctionnement de cette « colonne vertébrale », un point de convergence de tous les soins hospitaliers. Elle fait tout ce qui est nécessaire, et ce n’est pas la technologie qui prime.