Par Jacques Gagnon
Notre système de santé a été créé en 1971 pour que les coûts soient partagés par toute la société. Comme le disaient certains médecins d’alors nous n’avons pas assez de riches pour les payer.
Par Jacques Gagnon
Notre système de santé a été créé en 1971 pour que les coûts soient partagés par toute la société. Comme le disaient certains médecins d’alors nous n’avons pas assez de riches pour les payer.
Par Jacques Gagnon
Le rêve américain laisse croire que chacun est responsable de son sort et que le travail acharné est la clé de la réussite. Pourtant, certains événements de la vie sont le fruit du hasard, heureux ou malheureux.
Par Jacques Gagnon
On sort ébranlé du World Press Photo, des images qui nous révèlent le monde, crûment, brutalement, avec éloquence cependant. Une planète hostile, ingrate et violente sur laquelle tentent de survivre des populations de migrants.
Par Jacques Gagnon
Quand on entre à l’hôpital, on entre dans un corridor de soins, un continuum, un parcours à travers un plan de soins. C’est le jargon qu’utilisent les soignants.
Par Jacques Gagnon
Notre système de santé a été créé en 1971 pour que les coûts soient partagés par toute la société. Comme le disaient certains médecins d’alors nous n’avons pas assez de riches pour les payer.
Par Jacques Gagnon
Le rêve américain laisse croire que chacun est responsable de son sort et que le travail acharné est la clé de la réussite. Pourtant, certains événements de la vie sont le fruit du hasard, heureux ou malheureux.
Par Jacques Gagnon
On sort ébranlé du World Press Photo, des images qui nous révèlent le monde, crûment, brutalement, avec éloquence cependant. Une planète hostile, ingrate et violente sur laquelle tentent de survivre des populations de migrants.
Par Jacques Gagnon
Quand on entre à l’hôpital, on entre dans un corridor de soins, un continuum, un parcours à travers un plan de soins. C’est le jargon qu’utilisent les soignants.
Par Jacques Gagnon
Que sait-on des personnes âgées ? Comme on les délaisse, qu’on ne les voit pas, qu’on ne les fréquente pas, les informations viennent des médias. Nous devrions accepter ce pacte, qu’un jour nous aurons à rendre les soins qu’elles nous ont prodigués enfants.
Par Jacques Gagnon
Personne n’attend la mort. Au contraire, on tente de la repousser de plus en plus et on y réussit, souvent. On dit que la naissance est le premier jour du reste de sa vie.
Par Jacques Gagnon
Nous l’oublions toujours quand la maladie nous envahit. Elle est même devenue dangereuse, presque l’arme du crime pendant la pandémie, la main qu’il faut ganter et désinfecter. Elle doit retrouver sa place dans les soins.
Par Jacques Gagnon
Quand on parle d’accès aux soins, d’accès à votre dossier, la confusion règne. Que signifie avoir accès ? Pour la plupart d’entre nous, on a besoin d’un service quand on est malade ou quand on a peur de l’être. Nous cherchons alors désespérément de l’aide. Avoir un médecin de famille vous assure-t-il un accès aux soins ? Pas tout à fait parce que vous devez vous battre et faire preuve de persévérance pour obtenir un rendez-vous. La maladie frappe souvent sans avertir, jour et nuit, mais seule l’urgence est disponible, vous n’avez d’autre choix que de vous y présenter. Le système ne répond pas assez à tous ceux qui vivent l’angoisse, la peur, qu’elle vous apparaisse justifiée ou non.
Par Jacques Gagnon
Des histoires comme celle de Fatima, on les compte par dizaines de milliers paraît-il. Fatima est une jeune femme épanouie dans la force de l’âge. Elle a un métier qui la passionne, elle enseigne aux enfants. La société lui doit tout le bien qu’elle apporte aux petits, au-delà de sa paye. Mais voilà qu’elle a remarqué une bosse sous son aisselle. L’anxiété l’habite dorénavant.
Par Sophie R.
Il est facile de mettre la faute sur les autres, de responsabiliser les autres plutôt que soi, d’écraser les autres pour s’élever ou encore de se servir des autres pour faire fortune. Mais, on finit toujours par être l’autre de quelqu’un d’autre, l’ensemble c’est chacun de nous, et nos actions finissent immanquablement par toucher le nous collectif.
Par Jacques Gagnon
Une médecin interrogée devant son hôpital est inquiète. « Pourrons-nous soigner tout le monde ? », nous lance-t-elle. « Il faudra faire des choix ! Oui des choix déchirants », dit-elle. Qui soigner ? Quels patients prioriser ? Un choix déjà fait puisque nous avons priorisé les soins aux patients atteints de la Covid-19 sur tant d’autres malades. Un choix forcé devant l’inconnu, mais aurait-il mieux valu prioriser les personnes malades plutôt qu’une maladie ? La réalité a été que les soins ont tous été affectés et avec un impact inconnu lui aussi.
Par Jacques Gagnon
On dit souvent que la peur est le début de la sagesse. En d’autres circonstances, elle est aussi source d’ignorance, de repli et parfois d’intolérance. Comme tout bouleversement, comme tout événement d’importance, la pandémie de la COVID-19 aura fragilisé nos certitudes. Désormais, les humains ont pris conscience du risque, conscience des limites de leur propre existence.
Par Jacques Gagnon
N’en déplaise aux climatosceptiques, la Terre nous parle et ce qu’elle raconte n’a rien pour nous rassurer. Peu à peu, mais encore trop rapidement, elle suffoque sous le poids de l’activité humaine. La coupe est pleine ? Non. La pandémie nous ouvre les yeux sur une nouvelle menace : les virus qui mutent plus vite qu’on ne produit les vaccins pour les combattre. Dans un monde dont on nous prédit la fin depuis le début des temps, comment survivre si ce n’est tous ensemble, en travaillant main dans la main sur les problèmes qui nous unissent.
Par Jacques Gagnon
Les travailleurs de la santé sont à bout de souffle. La pandémie qui continue de faire des victimes engendre une pression sans précédent sur le système de santé et le manque de personnel en milieu de soins complique grandement la situation. Comme dans plusieurs autres secteurs d’activités, on parle depuis des années de pénurie de main-d’œuvre en santé. Mais qu’entend-on réellement par pénurie de main-d’œuvre? Et surtout, comment éviter que d’autres secteurs atteignent à leur tour les limites de leur capacité humaine?
Par Jacques Gagnon
Les médecins du Centre intégré de santé et de services sociaux du Saguenay – Lac-Saint-Jean sonnent l’alarme. Dans une lettre d’opinion parue le 21 novembre dans Le Quotidien, les médecins siégeant sur le Comité de coordination du CIUSSS demandent l’aide de la population pour respecter les consignes de la Santé publique, notamment en préconisant la distanciation sociale et le port du masque. La situation actuelle est critique dans la région et il est plus que temps d’agir.
Par Jacques Gagnon
Si on parle d’un risque lié aux installations physiques, et de risques accrus d’intrusion,l’impact est faible. Dans l’urgence les ressources disponibles sont attribuées à la crise; ce sont les personnes qui donnent les soins principalement. En temps normal on doit faire fonctionner l’hôpital, traiter les patients selon des protocoles et des routines bien connues. Cependant, nous ne sommes pas en temps normal : on doit maintenir la capacité de l’hôpital et y ajouter une gestion critique de la pandémie, et ce dans l’inconnu, devant un événement unique et historique. Le personnel est placé dans une situation encore plus tendue avec un stress, une peur, une intensité permanente.
Par Jacques Gagnon
Par Jacques Gagnon
Par Jacques Gagnon
Par Jacques Gagnon
Par Jacques Gagnon
Par Jacques Gagnon
Par Jacques Gagnon
Par Jacques Gagnon
Par Jacques Gagnon